LOWAN hamendra demensson

Lowan Hamendra Demensson

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Nom : Demensson
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— de la mère [ ] — du père [x]
Prénom(s) : Lowan Hamendra
Taille : [ 1 ] , [ 6 ][ 9 ] m
Né(e) le : [ 30/04/1992 ]
À : Sydney, Australie
Nationalité : Australienne
Origine(s) : Américaine et Australienne
Couleur des yeux : Bruns
Père : Howard Demensson — Directeur d'une entreprise d'automobiles
Mère : Kaley Stevens — Styliste de vêtements

« Et bien, pour la petite anecdote... »

► Je sais, nous avons tous notre propre vie et nous sommes tous capable de la conter à notre propre façon, mais soyons réaliste, qui se rappelle de sa propre naissance? Pas moi en tout cas. Je sais juste que je suis née le trente avril mille neuf cents quatre-vingt douze. C’est tout. Bon d’accord, je sais ce que vous devez vous dire ; une date de naissance, c’est facile à retenir. Je vous donne le point. Par contre, je ne peux pas dire que je me rappelle de ce que j’ai vue la première fois que j’ai ouvert les yeux. En fait, comme la plupart des gens, je me rappelle de ma jeunesse à partir de l’âge de quatre ou cinq ans. Encore là, c’est toujours un peu vague, ça va de soit. Je me souviens de quelques uns de mes copains que j’avais à cet âge, des voisins. Nous nous amusions à dessiner, à l’aide de craies, des bonhommes par terre… Ou même des soleils et des nuages. Parfois, même, nous tracions un genre de labyrinthe et tentions de le résoudre par la suite! Mine de rien, ça n’était pas si simple, et même que parfois, ça ne débouchait pas du tout ! En bout de ligne, c’était toujours très drôle. D’autre fois, c’était une piste que l’on traçait et, à l’aide de petites automobiles que mon père achetait pour nous, nous faisions des supers courses. Bien sûr, je perdais tout le temps. J’étais nulle pour courir à quatre pattes en tenant mon automobile dans la piste de course, alors je finissais toujours bonne dernière, mais je m’en foutais. J’étais avec mes amis, et c’était tout ce qui comptait. Les journées de soleil, nous allions sur le bord de l’eau s’amuser un peu et se baigner. La plage, comme j’aimais ça y aller! Passer mes doigts fins à travers des milliers de petits grains de sable, les déplacer de leur petit lit douillet qu’ils s’étaient fait juste avant que je les déplace. La douceur qui restait sur mes mains par la suite. J’adorais. Il faut dire qu’à Falmouth, la plage était comme une deuxième maison pour tout le monde, et tous ceux de ce petit village australien – car oui, je suis née en Australie, à Sydney pour être plus précise – qui n’aimait pas l’océan n’étaient pas vraiment des habitants qui avaient décidés d’y vivre. On les appelait les touristes ancrés. Oui car ils étaient ancrés dans la ville, sans pour autant avoir l’impression d’y appartenir. Ils étaient tous très gentils, mais ils étaient différents de la plupart des habitants. J’avais cinq ans à cette époque, et la vie était belle. Quand il pleuvait, mes voisins et moi s’amusions à courir dans la cour de ma maison sous la pluie. On revenait toujours tout trempés et mes parents détestaient ces journées-là, mais ils finissaient toujours par nous pardonner en rigolant un peu, trouvant notre petit jeu assez drôle, car à leur âge, ils ne voulaient plus vraiment se donner à des jeux de cet aspect. Pourtant, c’était si drôle.

J’avais huit ans lorsque ma mère décéda. Huit ans. Elle était une styliste hors pair d’après les esquisses de vêtements qui étaient accrochés partout à travers son bureau de travail à la maison. J’aimais beaucoup ma maman. Pourtant, elle est morte. Un accident de voiture. Un chauffard soul lui avait foncé dedans et elle n’avait malheureusement pas pue l’éviter. Mes amis et moi avions assistés, avec peine, aux funérailles accompagnés de mon père. Il était si triste. Ça se voyait que la femme de sa vie venait de mourir. Je n’ai jamais vraiment comprise pourquoi la mort était comme ça… Je veux dire, elle venait à peine d’avoir trente huit ans lorsqu’elle décéda. C’était injuste. Pourquoi elle? Qu’avait-elle fait? J’ai priée le Seigneur pendant un long moment, peut-être deux ou trois ans, sans jamais avoir de réponses à ces deux questions là. Jamais. J’ai due donc me résigner à vivre sans ma mère. Huit ans. Je l’avais connue huit ans et sur ces huit ans, trois ans sont effacés de ma mémoire. Je me rappelle d’elle que cinq ans, cinq ans et parfois, mes souvenirs sont vagues, effacés. Ça fait mal. Revoir une photographie d’elle et se demander qui elle était vraiment, car à huit ans, je ne connaissais pas vraiment le caractère de ma mère… Je n’avais pas encore l’habilité intellectuelle de comprendre… C’est dur d’être constituée de la moitié d’une personne que l’on ne connaît à peine, de lui ressembler comme deux gouttes d’eau sans trop savoir qui elle était… C’est dur de manquer une personne qui ne nous rappelle pas plus de souvenirs que cinq misérables années. Ma mère me manque. Terriblement.

Le ciel pleurait avec moi lorsque mon premier amour me quitta. Il pleuvait des cordes dehors, c’était une énorme tempête tropicale qui se préparait… Et Jake m’avait laissé. J’avais quatorze ans. Il avait été mon premier baiser et même ma première fois. Je lui avais tout donné. Mais ça ne fonctionnait plus, il ne ressentait plus rien pour moi et il préférait m’en avertir. C’était en mars de l’année deux mille quatre. J’allais avoir quatorze ans en fait. Dans une trentaine de jours. Ça faisait un an et deux mois que nous étions ensemble. Inséparables. Ça avait été fusionnel nous deux… Par contre, je me doutais bien qu’à cet âge, il y aurait une fin. Nous avons tous des expériences à vivre, non? C’est quelques temps après cette rupture que je décidai de m’inscrire, avec le consentement de mon père, à des cours en bateau. Nous avions les moyens de toute façon. Je fus acceptée et décidai de tout quitter à Falmouth. Les mauvais souvenirs seraient derrière. Mon père me conduisit à l’aéroport en fin juillet de la même année, pour que je me rendre seule à New York, lieu de départ de cette croisière écolière. L’aventure m’emballait énormément et j’avais hâte de visiter plusieurs endroits de notre monde, ça allait être génial, je le sentais. De plus, j’allais laisser tout mes tracas derrière moi. Ma nouvelle vie commençait réellement.

Lorsque je revins pour les vacances d’été, j’étais une toute autre personne. Plus mature, plus raisonnable, plus ouverte sur les autres cultures. Ça faisait du bien. J’étais finalement heureuse, plus heureuse que jamais auparavant et mon père le remarqua rapidement. Je voyais tout d’un autre œil, que ça soit la plage de Falmouth, ou même le village et ses habitants et touristes ancrés. Je décidai par contre de suivre ma deuxième année aussi à bord de cette croisière. J’avais appréciée l’expérience et j’avais l’impression de plus profiter du temps passé avec ma famille en Australie lorsque je revenais. Mon père n’était heureusement pas contre l’idée. C’était ma deuxième année.

J’ai désormais dix-sept ans, et je suis épanouie comme jamais. Encore cette année, j’ai voulue suivre ma troisième et dernière année à bord de ce luxueux paquebot scolaire. L’aventure était toujours aussi excitante, malgré le fait que je savais déjà à quoi m’attendre. Mes notes étaient exceptionnelles l’année dernière, et je compte à ce qu’elles soient super cette année aussi. Par contre, je ne négligerai pas quelques fiestas et verres d’alcools, après tout, je vais avoir la majorité un jour, il faut bien que je m’y prépare! Un petit coup ne fait jamais de tord, comme dirait… Comme dirais-je, moi-même! Alors je me suis envolée avec une énergie tout aussi positive que l’an dernier vers New York et je suis désormais sur le paquebot. Les cours recommencent à la fin du mois mais pour l’instant, je tarde de revoir mes amis que j’ai connus les années précédentes, et pourquoi pas les petits nouveaux, aussi? Qui sait, il va peut-être, voir même assurément, avoir des beaux mecs à bord! Attention à tribord!

► Énergique : Je suis une bombe d’énergie. Je suis fan de sports depuis toujours et adore donc les cours d’éducation physique. J’aime beaucoup participer à des sports d’équipes tels le basketball et le soccer. Je suis aussi très entraînante dans à peu près tout.
Souriante : Je déteste ne pas avoir un sourire scotché au visage, je trouve que c’est une journée de perdue si on ne la vit pas avec le sourire. Alors je m’efforce de sourire malgré les étapes difficiles de la vie. Après tout, comme les vieux dictons le disent; on ne sait jamais qui peut tomber amoureux de ton sourire!
Optimiste : Négative, je ne l’ai à peu près jamais été car j’ai dans mes croyances que tout a une raison d’être. Bien évidemment, je crois aussi qu’il faut voir de l’avant pour avancer, évoluer! Alors ça va de soit que je serai toujours optimiste, alors ne tentez pas de me déstabiliser sur ce point, c’est peine perdue!
Sociale : J’aime aller vers les autres et faire de nouvelles connaissances. J’ai dans mes dires que nos listes d’amis ne seront jamais trop longues, et que nos listes d’ennemis ne seront jamais trop courtes. Alors j’aime beaucoup parler avec n’importe qui, tant que ça se fait dans le respect… Bien que parfois…
Ordonnée : Je range tout de A à Z à la perfection, c’est un peu une obsession je dois l’avouer. J’aime quand mes choses sont bien classées et je déteste manifestement le bordel chaotique.

Compétitive : J’ai beau être énergique et aimer les sports d’équipe, j’aime aussi beaucoup gagner et lorsque nous sommes dans une compétition… Je sais que je peux m’avérer parfois beaucoup trop compétitive et ça peut mener à quelques coups… bas.
Possessive : J’aime bien avoir le contrôle sur pas mal de truc et donc, parfois je peux m’avérer possessive. Je le sais, tous mes amis le savent. Alors ne vous gênez pas pour m’en avertir.
Têtue : J’adore avoir raison, je ne laisse donc pas une réponse autre que la mienne en point fort très très longtemps. Parfois je suis dans l’erreur, d’autre fois non. En tout cas, j’adore débattre sur des sujets car je suis souvent convaincue que j’ai raison.
Jalouse : Gare aux filles qui s’approchent de trop près du mec que j’aime parce qu’elles pourraient bien compter dans ma liste d’ennemies et je sais être très méchante avec ces personnes là. Bien que parfois ça puisse être de la jalousie chronique, je sais habituellement me contrôler. Vous devez par contre être au courant.
Perfectionniste : J’aime quand tout est parfait et je ne me gêne pas pour recommencer un travail quand je n’aime pas le résultat final… Ce qui m’amène parfois à voir des retards dans des travaux scolaires et je dois tenter d’améliorer ce point… Après tout… Rien n’est parfait? Si ?

Schedule Informations

Characters Informations

Moyenne Générale : 87%
Meilleure Note : Anglais — 100%
Pire Note : Biologie — 37%
Matière Préférée : Chimie
Matière Détestée : Français
Année sur le Capitan Humanity : 3e

► Énergique
► Souriante
► Optimiste
► Sociale
► Ordonnée

► Compétitive
► Possessive
► Têtue
► Jalouse
► Perfectionniste

The Game Is Over